Malgré les nombreux obstacles auxquels les États-Unis ont été confrontés dans le cadre de la pandémie, la Maison-Blanche tient à maintenir de bonnes relations avec ses voisins du sud et du nord. Cela est d’autant plus vrai que l’administration a décidé d’aider les autorités canadiennes et mexicaines dans le cadre du programme de vaccination.
Une bonne nouvelle de l’administration Joe Biden
Les autorités canadiennes et mexicaines ont des difficultés à gérer la question de la vaccination. Le principal problème vient du fait que ces pays ne disposent pas d’un nombre suffisant de vaccins. Pour les gentilés de ces pays oudonc vous propose de nouvelles idées de voyage.
La décision des États-Unis d’aider leurs voisins sera un grand soulagement. En fait, le principal administrateur politique de la province de l’Ontario a apprécié l’administration de Joe Biden en déclarant que « Dieu bénisse l’Amérique ».
En revanche, les autorités mexicaines n’ont guère donné de nouvelles pour l’instant. Cependant, toutes choses étant égales par ailleurs, les voisins du sud trouveront également cela un grand soulagement compte tenu des nombreux problèmes auxquels ils ont été confrontés.
Par exemple, malgré les restrictions de voyage et les problèmes de santé qui touchent le monde entier, de nombreuses personnes se soumettent à des conditions difficiles pour tenter d’entrer aux États-Unis.
La patrouille frontalière a eu beaucoup de mal à faire face à ces problèmes, car le gouverneur du Texas et les autres États concernés ne sont pas satisfaits de l’assouplissement des lois sur l’immigration par la nouvelle administration.
Une éventuelle arrière-pensée derrière les actions des États-Unis.
Plusieurs analystes politiques tentent de lire entre les lignes. Ils essaient de voir si la décision des États-Unis d’aider le Canada et le Mexique à déployer le vaccin d’AstraZeneca a une arrière-pensée.
Un analyste a expliqué que « même sans attachement et sans conditions, l’administration canadienne comprend les implications de cet acte des Etats-Unis. Cela signifie qu’ils devront soutenir leurs voisins sur la scène internationale. Et ce, notamment face à des pays comme la Chine et la Russie, qui sont membres du Conseil de sécurité des Nations unies, mais qui suscitent des inquiétudes pour diverses raisons.